L’ancien directeur des SIG réfute toute accusation de favoritisme dans le cadre de l’enquête
Christian Brunier maintient son innocence face aux accusations
Christian Brunier, ancien directeur général des Services industriels genevois (SIG), a récemment réaffirmé ne pas être à l’origine d’éventuelles pratiques de favoritisme liées à des processus d’embauche ou de promotion. Cette déclaration intervient après que des médias locaux ont exprimé des doutes quant à l’impartialité de l’enquête interne menée à son sujet.
Contexte de l’enquête et controverse sur l’indépendance du cabinet d’audit
L’enquête, confiée à un avocat ayant déjà collaboré avec les SIG, a été critiquée par La Régie publique qui soulignait une possible mise en cause de son objectivité. En réponse à ces critiques, Christian Brunier a précisé dans une interview accordée à « Blick » qu’il n’était pas à l’origine de la sélection de ce professionnel. Il évoque une « cabale » visant à faire porter à sa personne des accusations qu’il qualifie d’infondées.
Politique de recrutement et gestion des relations hiérarchiques aux SIG
Le professionnel assure que les mécanismes de recrutement au sein des SIG ne permettaient pas de pratiquer le népotisme. Selon lui, toutes les décisions en matière de personnel étaient prises collectivement, en partenariat entre la direction des ressources humaines et les gestionnaires concernés. Il insiste également sur le fait qu’il n’a jamais eu d’influence sur le parcours professionnel de ses proches ou de toute personne ayant officié pour cette institution, en précisant que la hiérarchie en place empêche toute manipulation de carrière par des liens familiaux ou personnels.
Une position claire face aux accusations
Christian Brunier affirme qu’il aurait été dans une situation conforme aux règles internes, dénuée de tout lien hiérarchique susceptible d’influencer la progression ou le traitement des employés proches. Il précise qu’il n’a jamais exercé de responsabilité pouvant permettre un tel favoritisme, renforçant ainsi sa position dans ce débat.
